Lundi 3 avril 1 03 /04 /Avr 05:17

 

 

 Un week-end d’épreuves coquines (suite 3)

 

            Le temps allait passer très vite.

 

            En me dirigeant vers la salle de bain, je passais devant un grand miroir et je me suis regardée nue ou presque. Pour la première fois je me voyais avec mes trois nouveaux bijoux intimes. Le charme y était. Spontanément , je n’aurais jamais mis des ornements pareils mais une fois parée, je ne trouvais pas cela moche. Cela fait tout de même drôle de voir ses lèvres épilées et quelques jours plus tard avec deux beaux brillants étincelants. Le bijou de nombril était un peu plus gros et se composait d’une pierre bleue comme mes yeux. Était-ce un clin d’œil ?

 

 

            Rapidement je me douchais à l’eau froide pour me raffermir mes chairs. Un petit brushing, un trait de maquillage, une touche de vernis…Je me plonge dans mes nouveau vêtements en espérant qu’ils auront l’effet escompté et que mes engagements seront respectés. D’abord le bustier moulant, la jupe courte ensuite, les hauts escarpins, aucun sous-vêtement... le grain de beauté est visible. J’enfile le boléro et me voilà prête…

 

 

 

            Ainsi vêtue, je fais quelques pas dans la chambre, j’arrive à marcher sans problème et je me sens bien ; mais personne ne me regarde…Tout sera différent dans quelques instants.

 

 

 

            Je me lance ; c’est parti. Avec une fausse assurance, je sors de la chambre, descends de la chambre, sans croiser personne. Je me dirige immédiatement vers la terrasse. Le premier à me voir est Stéphane qui montre un franc sourire de satisfaction et me glisse dans l’oreille « tu es la plus belle, chérie. La soirée va être magnifique ». Cela n’est pas déplaisant d’entendre ce genre de compliments.

 

Il me prend une main, et la pose sur le grain de beauté de ma jambe découverte en susurrant « l’engagement semble respecté sur ce point… ». Premier ouf de soulagement pour moi ; mais la pression est là et Stéphane ne laissera rien passer, c’est certain.

 

            Nous sortons dehors, hélons un taxi et nous glissons dedans. Stéphane lui donne une direction avec un nom qui ressemble si j’ai bien compris à celui d’un restaurant. Nous voilà partis. Assis sur notre banquette à l’arrière, Stéphane ne reste pas longtemps inactif : il me pose une main sur un genou et la remonte en prenant soin de m’écarter les jambes. Mes cuisses frissonnent au passage de ses doigts. Rapidement la progression se poursuit pour arriver à mon mont Vénus lissé. Il me complimente à nouveau sur mon respect des consignes (pas de culotte sous la jupe pourtant minie) et me masse les lèvres du bout de ses doigts agiles. Il sait que j’adore cela. Mon intimité s’humidifie d’autant plus qu’il me pénètre d’un doigt puis deux…Je suis gênée de devoir être ainsi caressée dans un taxi dont le chauffeur ne semble pas dupe mais ne dit rien. Je tente en vain de serrer les jambes mais je comprends rapidement que je n’ai pas le droit. Ma respiration s’accélère progressivement, où va t’il s’arrêter ? Je commence à me rendre compte que je vais fondre sur place et je décide d’arrêter de résister et me laisse aller. Des décharges électriques parcourent mon corps, tous mes muscles se tendent en se contractant ; je faillis en me mordant un doigt pour ne pas hurler. Mes cuisses s’inondent, j’ai tenté de montrer le minimum de mon plaisir au chauffeur mais il a dû comprendre. Stéphane, le sourire aux lèvres m’embrasse et me glisse un kleenex pour éponger mes flots. Chaud début de soirée.

 

Rapidement nous arrivons devant un restaurant en plein centre ville dans une petite rue ; Stéphane paye et nous sortons du taxi. Je tente si bien que mal de masquer le trop plein d’émotions que je viens d’avoir. En descendant du taxi je rebaisse ma mini-jupe que Stéphane m’a fait remonter pendant le trajet. Nous rentrons dans ce restaurant très accueillant et très chic. Une musique m’envahit tout de suite et dans une relative pénombre, des couples dansent sur un petit coin de piste prévu à cet effet.

 

            Notre table est réservée, le serveur me propose de me prendre mon boléro, je me laisse faire et retrouve ainsi en bustier-jupe. Je n’ai pas froid tellement le voyage a été torride et l’air doux.

 

 

 

            Nous mangeons paisiblement et la soirée s’engage tranquillement. Entre les plats, Stéphane m’invite à quelques pas de danse. Tout cela se révèle très agréable. Juste après avoir commandé le dessert notre voisin de table lointaine ( nous ne l’avions guère remarqué jusqu’alors) se présente à nous et en s’adressant à nous deux, demande dans un français approximatif si Stéphane l’autorise à danser quelques mouvements avec moi.  Sur le coup, Stéphane ne répond pas immédiatement puis fait un signe approbatif de la tête. Mon futur cavalier propose à Stéphane en retour d’inviter sa compagne qu’il nous désigne de la main. Elle est encore assise. C’est une belle femme, mince, très brune et bronzée enveloppée dans une courte robe fourreau noire. Le marché semble conclu sans que j’ai pu m’exprimer. Je me  retrouve donc à saisir la main tendue d’un inconnu qui m’invite à danser avec le consentement de mon mari. Curieux. Je n’ai pas du tout envie d’être prêtée…Je suis tendue et sur mes gardes.

 

            Tout se passe bien, l’homme est galant, danse bien et ne s’égare pas dans ses gestes. Du coin de l’œil, je surveille aussi Stéphane qui est en charmante compagnie et semble en profiter pour discuter âprement.

 

            Quelques instants avant la fin, en un  clin d’œil, mon cavalier m’a fait devenir écarlate je crois ; il m’a murmuré «  Vous êtes comme ma femme, vous très jolie et vous ne portez pas de sous-vêtements, quel plaisir ! »

 

Tout d’un coup, je me suis sentie démasquée. J’avais presque honte de m’être fait prendre ainsi.

 

Je regagnais ma place en chancelant ; mon cavalier me remerciait chaleureusement et en croisant Stéphane lui glissait une carte de visite en l’invitant le lendemain midi à venir déjeuner à son domicile. Stéphane fit honneur à son invitation en le remerciant. Le cavalier inconnu rajouta à voix suffisamment haute pour que je l’entende «  le peu de vêtement que porte votre femme lui va merveilleusement bien ». Stéphane comprit l’allusion et sourit en le remerciant et lui renvoyant « votre femme en porte encore moins, mais la grâce est avec elle ».

 

En s’essayant, Stéphane me demanda comment cela s’était passé ? Je lui répondis « très bien , mais il m’a fait remarquer que ne portait pas de sous-vêtement ». « Eh alors » sourit Stéphane. « Sa femme aussi l’a vu et m’a confessé qu’elle n’en mettait plus non plus depuis plusieurs mois ». Je me sentais cernée et j’avais l’impression que tout le monde me regardait en m’épiant. J’étais  assez mal à l’aise. Stéphane tenta de me rassurer en me disant que ce couple était des connaisseurs mais que tout le monde n’était pas aussi fin observateur. Ses arguments me convinrent qu’à moitié.

 

Assez rapidement, nous partîmes ; Stéphane dit en passant à mon cavalier qui nous saluait « à demain ». Stéphane m’expliqua que nous étions invités demain midi. Je l’avais déjà compris et cela me semblait être une aventure. Je n’en dis rien.

 

 

 

Nous reprîmes un taxi et en montant Stéphane glissa un papier au chauffeur avec sûrement une direction. Au bout de quelques minutes, le taxi s’arrêta devant un immeuble et montra légèrement en retrait un sex-shop. C’était donc cela la surprise. Stéphane me fit descendre, demanda au taxi de nous attendre et me prit par la main. Il rentra d’abord et je suivis immédiatement. Après avoir découvert les lieux où nous n’étions pas nombreux, il y avait un autre couple et deux hommes seuls. Stéphane s’approcha d’un présentoir et observa un panel de boules de geisha. Voilà donc ce qui m’attendait, il saisit une boite de deux en métal reliées par un fil et qui faisait du bruit en remuant. Il sortit son porte-feuille retira 100 euros, me les remit en me disant « achète toi un ou deux objets surprise pour que je te fasse prisonnière. Je t’attends dans le taxi ». Puis il alla à la caisse pour payer les boules de Geisha.

 

Subitement, je me retrouvais seule, femme, au milieu d’un sex-shop avec une mission «  acheter mes outils de supplice ». Quelle douce cruauté. Je n’étais pas très bien et je n’avais qu’une envie : sortir au plus vite. Je me sentais observée par tout le monde. C’était faux, personne ne m’adressa la parole mais des regards furtifs glissaient. Un peu au hasard, je tombais sur des modèles de gode de différente taille et avec plus ou moins de gadgets. J’en pris un de bonne taille et électrique : il bougeait et était censé décupler les plaisirs. Je n’y connaissais rien de toute manière.  Un peu plus loin je tombais sur le stand des cravaches et fouets en tout genre ; cela ne tentait pas du tout par contre juste à côté, il vendait des menottes. J’en pris une double paire qui pouvait être utilisé en simple ou en double (avec une petite chaîne). Je savais que ça plairait à Stéphane. Sans perdre temps, je payais mes trouvailles et me précipitais dehors. Stéphane m’attendait bien. En montant dans le taxi, j’étais soulagée. Pourtant la soirée ne faisait que commencer sûrement. Nous reprîmes la direction de l’hôtel mais avant d’y arriver, Stéphane demanda au chauffeur de nous arrêter. Nous allions marcher un peu.

 

Au bout de quelques pas dans des petites rues, Stéphane me remit dans la main les deux boules de geisha qu’il avait sorties de leur boite et me dit «  tu as trois minutes pour les mettre devant moi ; il est 23h23 , tu as jusqu’à 23h26 ». J’ai paniqué pendant de précieux instants. Comment faire cela en pleine rue au milieu de tout le monde. Je compris vite que mon seul salut pouvait ne venir d’une ruelle ou d’un porche sombre ou d’un couloir d’entrée. Je regardais tout autour de moi rien en vue. Je choisis d’emprunter la rue la moins fréquentée dans l’espoir de trouver cet endroit discret. Stéphane savourait de me voir en panique. Après avoir marché en trottinant sur 150 mètres, la chance me sourit une entrée restait ouverte, je me précipitais dans ce couloir sombre. Au bout une petite cour. Elle allait faire l’affaire, je n’avais plus le choix. Je relevais prestement ma jupe, découvrant mes lèvres charnues, écartais les jambes pour faciliter le passage et présentais ces deux assez grosses boules à l’entrée. Stéphane n’en perdait pas une miette et se permis même de faire quelques photos. La première passa non sans mal suivie de la seconde plus facilement. Mon humidité corporelle m’a rendu service. Seul pendait un petit bout de fil pour retirer tout cela. Stéphane regarda sa montre et me la montra : 11h27. J’avais réussi à les mettre mais échoué dans le temps imparti. Pourtant j’étais assez fière de moi. Cela faisait tout bizarre d’avoir ces deux boules en soi ; je ne bougeais pas.

 

Stéphane me dit assez sèchement « tu as été très douée mais pas assez encore. Tu seras punie pour cette minute en trop et pour t’améliorer. Maintenant, garde ces boules en toi, entre tes cuisses et rentrons à pied à l’hôtel… »

 

 

 

Je m’en voulais de ne pas avoir réussi mais j’avais fait de mon mieux.

 

Pour le moment je marchais avec ces deux boules qui s’entrechoquaient dans mes entrailles. Je n’y restais pas insensible…J’alternais la longueur de mes pas pour découvrir toutes les sensations, cela me plaisait de m’auto-caresser aussi discrètement. La route me paru longue jusqu’à l’hôtel. Une fois entrés dans le hall, Steph me dit « pour bien ressentir tes boules monte par l’escalier jusqu’à la chambre ». Je m’exécutai sans mot dire tellement cette petite épreuve me paraissait simple. Mais intérieurement je savais que le plaisir allait être intense : le mouvement imposé par l’ascension de l’escalier amplifierait les frottements internes et intimes. Je gardais ce secret pour moi et savourais seule mon plaisir…

 

 

 

En entrant dans la chambre, Stéphane était déjà là, allongé sur le lit ; il avait pris l’ascenseur.

 

« Tu vas me faire un  strip-tease intégral en musique, puis je te punirai comme tu le mérites…et comme tu le demandes… » « Je te précise tout de suite que ce strip-tease à l’intérieur ne compte pas pour l’engagement initial que tu as pris ! ». Je m’en doutais un peu à vrai dire.

 

 

 

            Sans montrer mes doutes, je me dirigeais vers le lecteur CD, posais mes emplettes, choisissais un CD de Slows.

 

 

 

            « ON , lecture » , à moi de jouer de mon corps et de mettre le paquet.

 

 

 

            Pour lui montrer ma docilité et mes talents je saisis un foulard sur une chaise, me dirigeais au milieu de la chambre et m’en bandais les yeux. Ce serait plus dur pour moi mais sûrement plus excitant pour lui …Je commençais alors de m’effeuiller le plus sensuellement possible : d’abord le boléro tomba après que je feins plusieurs hésitations à l’enlever ; il me restait le bustier, la jupe et les rares sous-vêtements. Mon choix se porta sur la jupe que je laissais glisser lentement le long de jambes. J’avais pris cette option car je me sentais plus belle et plus sensuelle avec mon bustier et mes bas noirs. Bien sûr ma chatte était nue et pour augmenter l’attente de Stéphane pour la voir, j’avais enlevé la jupe en lui tournant le dos. Puis, Je me suis  accroupie, j’ai posé les mains parterre et relevé les fesses vers lui, les jambes ouvertes ; en fait j’ai fait le pont, visage tourné vers le sol. Progressivement, j’ai pivoté dans cette position, pour me retourner et donc faire le pont la poitrine vers le plafond. Essayez cette position et vous comprendrez que les jambes et les bras sont forcément écartés pour conserver l’équilibre. Stéphane devait donc voir mes lèvres ouvertes d’où sortait le fil des boules de G que je conservais plaisamment au chaud de mes entrailles. Pendant quelques instants au rythme de la musique, j’ondulais des fesses pour que le spectacle soit complet. Je me demandais si Steph n’allait pas craquer et me sauter dessus, mais je ne sentis rien se passer. Peut-être avait-il bougé ?

 

Je me mise accroupie, jambes ouvertes et poitrine en avant. Doucement je dégrafais mon bustier pour finir par libérer mes seins lourds, durs et tendus. J’étais quasiment nue, seuls me restaient mes bas, mon foulard et mes boules de G.

 

 

 

« Fort bien, tu est belle ainsi ; ne bouge plus ». Je sentis une main se poser sur ma nuque et me remettre dans les mains un sac plastique.

 

            « Tu vas me montrer ce que tu as acheté comme objet de supplice…. »

 

 

 

Je compris que j’allais donc devoir déballer mes achats surprises venus de ce sex-shop. Je m’exécutais doucement, en devinant ce que je faisais. Même les yeux bandés je parvenais à ouvrir le paquet et en sortais d’abord la boite de ce que je reconnus être la double paire de menotte. Immédiatement, je reçus des félicitations : « tu as donc envie d’être attachée ma beauté ! ».

 

Ne répondant rien,  Stéphane me remit la boite du gode, je le déballais  et le tendis dans la direction qui semblait être celle de Stéphane ; il s’en saisit et me complimenta « demandes-tu à être davantage pénétrée ? » Je n’osais pas répondre mais j’acquiesçais discrètement de la tête car au fond de moi j’avais le désir de découvrir et de ressentir les caresses d’un gode, même sous le régime de la contrainte…

 

 

 

Mon avenir dans cette nuit ne m’appartenait pas mais c’était justement ça qui m’excitait…

 

 

 

Antonia
Par antonia - Publié dans : antonia-histoires
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Lundi 3 avril 1 03 /04 /Avr 05:12

 

 

 

 

Week-end d'épreuves coquines 4

 

 

 

Au milieu de notre chambre, quasi-nue, les yeux bandés à mon initiative, les boules de G au fond de moi, je m'attendais à des minutes torrides...

 

Je n'ai pas attendu longtemps. Stéphane me fit mettre doucement à genoux les jambes écartées. C'est alors qu'il me prit les mains, me les plaça dans le dos, au niveau des reins et j'entendis le cliquetis des menottes se refermer sur mes poignets. Ce coup-ci c'était sérieux, je m'étais entièrement offerte, plus moyen de me libérer. Quand c'est un foulard qui me lie les mains, j'ai toujours l'impression qu'en tirant un peu je me libère; c'est encore un jeu, mais là, le métal froid aurait raison de ma force. En achetant ces menottes ne l'avais-je pas choisi ?  Je m'étais livrée...

 

 

 

 

 

 

Mais Stéphane ne s'arrêta pas; il plaça entre mes jambes un objet qui correspondait à l'écartement de celles-ci, puis me  relia les chevilles par l'autre paire de menottes. Il termina cette séance  en reliant mes mains et mes pieds menottés par la chaînette prévue à cet effet. Il l'attacha de façon tellement courte que je dus me cambrer légèrement en arrière, les fesses posées sur le support qui me maintenait les cuisses ouvertes. La position était suffisamment confortable pour que je reste ainsi quelques temps.

 

 

 

Quelques clichés furent fait...

 

 

 

La musique continuait sa mélodie tandis que je sentis une main me caresser l'arrondi des seins, le creux du ventre, le cou, le haut des joues, les cheveux....J'oublie certainement car je crois que tout mon corps fut enflammé par les caresses, y compris les lèvres qui ruisselèrent de plaisir.

 

Que n'accepterait pas une femme pour être ainsi honorée de caresses ?

 

 

 

Tous ces délices durèrent de longues minutes inoubliables. j'étais au bord de l'explosion jouissive. Mais Stéphane s'arrêtait volontairement avant que je ne rende les armes. Il du alors se placer devant moi légèrement au-dessus de mon visage, sa verge à hauteur de ma bouche. Vous aurez deviné que sans me faire prier j'engloutissais cette queue tendue et raide en m'efforçant d'en tirer du jus. Malgré le peu d'amplitude de mes mouvements, le pompage que j'effectuais avec application ne tarda pas à produire de l'effet : je sentis un jet brûlant et acre se projeter sur mon palais tandis que Stéphane rugissait de plaisir. Par fierté, j'avalais l'intégralité de son jus, je savais que Stéphane adorait que j'aille jusqu'au bout...

 

Je reçus de vifs compliments de mon chéri pour ma "prouesse divine".

 

Après quelques instants de silence, je sentis que Stéphane avait décidé de m'ôter les boules de G. Il tira délicatement sur la ficelle jusqu'à ce que les deux boules s'échappent de moi. Je dois reconnaître que le passage de mes lèvres était particulièrement glissant du fait de mon plaisir.

 

Une minute plus tard, je perçus un objet dur à l'entrée de mon vagin. Stéphane me dit juste : "voici ton heure" et en prononçant cette phrase, il me pénétra de ce qui devait être le gode. Sa grosseur me ravit et je me mis à imaginer ma position. Je n’eus guère de temps pour me noyer dans mes rêves car Stéphane enclencha le mode vibratoire du gode et me caressa les seins de ses mains libres.

 

La découverte fut inouïe…Je n’offrais aucune résistance à ses soins et me répandais rapidement sans rien retenir. Les vibrations m’emportèrent. Mon bas ventre se contracta avant de se relâcher. Les gouttes coulaient de mes lèvres, je le sentais, j’étais heureuse. C’était mon nectar qui s’écoulait. Jamais je n’aurai cru que j’étais capable de jouir dans cette position et sous l’effet d’un gode. Est-ce le fait de l’avoir moi-même choisi qui m’a libéré de mes appréhensions ? En tout cas, j’ai vraiment découvert une nouvelle forme de plaisir ; c’était la première fois, ce ne fut pas la dernière…

 

 

 

Après cette jouissance, j’avais un peu perdu ma pleine conscience.

 

Stéphane me libéra de mes entraves, me rendit la vue et m’allongea sur le lit de notre chambre. Dans un ultime effort, il m’enfourcha de son dard endurci pour exploser une dernière fois en fois. La fatigue nous terrassa et l’on s’endormit dans cette position : lui dans moi et moi autour de lui…

 

 

 

La nuit fut bonne, reposante et longue. Ce n’est qu’à 10 h 00 que nous émergeâmes….

 

Après un brin de toilette et un rangement de nos affaires (notre chantier était grand et fourni : gode menotte, foulard, vêtements…) ; nous étions prêts pour le retour mais avant nous avions une invitation à honorer.

 

Ma tenue vestimentaire était des plus simple : une robe noire courte à fines bretelles avec des fleurs discrètes et c’est tout….Mes escarpins à talon haut. J’étais vite prête….Mes jambes étaient nues, mes cuisses aussi. Les poils de mon pubis frottaient le tissus de la robe. Mes seins flottaient légèrement quand je marchais ; le décolleté en v plongeait assez profondément. Les tétons, par moment, pointaient à travers l’étoffe. Mes épaules étaient découvertes sous le soleil chaud de midi.

 

 

 

Armés de nos bagages nous quittâmes l’hôtel pour sauter dans un taxi. Stéphane donna au chauffeur un petit papier sur lequel était écrite l’adresse de nos hôtes. Le voyage dura peu de temps mais il permit à Stéphane de me préciser une règle qui me rassura : «nous n’y allons pas pour faire de l’échangisme ». J’étais rassurée car j’étais clairement inquiète sur la tournure de cette invitation avec notamment l’homme du couple que j’avais senti particulièrement entreprenant…Je fis comprendre mon soulagement à Stéphane.

 

 

 

En revanche, je me posais toujours la question de l’opportunité que j’allais pouvoir saisir pour réaliser mon engagement pris : un strip-tease intégral en dehors de l’hôtel avant dimanche soir.

 

Désormais, nous n’étions plus dans l’hôtel, chaque instant qui passait, sans que j’en profite, amenuisait mes chances de réussite…

 

Nous arrivâmes à une villa plutôt cossue. Après avoir sonné au portail, nous fûmes accueillis par mon ancien cavalier. Il nous conduisit au bord d’une piscine où une table de salon était installée et garnie d’un apéritif copieux. Sa femme finissait de déposer quelques plats de toasts. Les présentations furent faites : elle s’appelait Carla et lui Roberto.

 

Nous nous sommes désaltérés et avons grignoté quelques amuse-gueule délicieux.

 

Soudain Carla en prenant l’avant bras me proposa d’aller nous baigner. Je n’eus pas vraiment le choix. Mais, je dois reconnaître que piquer une tête dans l’eau ne me déplaisait pas.

 

Tandis que les deux hommes continuaient à discuter nous nous approchâmes de la zone de bronzage près de la piscine. Carla, dans une élégance naturelle et sans hésitation, souleva sa robe et la fit passer au-dessus de sa tête. Elle me tournait le dos. Prise par le mouvement, je fis de même. J’étais ainsi en train de réaliser mon strip-tease. Je ne l’avais pas envisagé ainsi mais c’était fait ; l’occasion était là je l’avais saisie. Rien n’avait échappé à Stéphane qui lorgnait du coin de l’œil et me vit me mettre nue ; il me fit un clin d’œil pour bien me montrer qu’il n’avait pas manqué une miette du spectacle offert. Carla, comme la première fois ne portait ni sous-vêtements ni  maillot de bain. Le spectacle était donc double d’autant plus que Carla avait de réels atouts. Nous étions à égalité de nudité. Carla se retourna et me complimenta sur mes formes et remarqua mes deux brillants aux lèvres et ma pierre au nombril. Elle trouva cela très raffiné et me demanda s’il s’agissait d’un percing ou d’un bijou qui se clipse. Je répondis que tout ce clipsait. La suite de sa phrase me permis de comprendre son intérêt pour ce détail  « moi aussi au début j’avais des clips mais depuis trois mois Roberto m’a demandé de me percer les lèvres pour y mettre un anneau à chacune. Je n’ai plus le droit de les quitter mais ils font partie de moi maintenant ». En effet, elle portait deux anneaux d’argent pendus à ses lèvres charnues et lisses comme les miennes. En revanche, elle était entièrement épilée ce qui faisait encore davantage ressortir ses deux bijoux.

 

Avant que n’ai pu lui en demander plus elle avait plongé dans l’eau où je la rejoignais. Que c’était bon de se baigner mais c’était la première fois depuis longtemps que je me baignais nue avec une autre femme nue aussi. La dernière fois devait dater de mon enfance avec mes sœurs. Le contextes était bien différent…Nous sortîmes assez rapidement pour nous faire sécher au soleil allongée sur les chaises longues. Je n’étais pas très à l’aise pendant tout ce temps : j’étais nue, aux côté d’une femme dont je ne savais rien et devant un homme avec qui j’avais dansé une fois…En temps normal, je n’aurai jamais accepté toutes ces circonstances.

 

Stéphane ne semblait pas du tout ennuyé ; je le voyais entrain de disserter gaiement avec le maître de maison en  nous regardant de son œil un peu lubrique.

 

Soudain Roberto s’adressa en espagnol à Carla par une phrase interrogative que je ne compris pas. Carla réfléchit un instant avant de répondre et acquiesça de la tête. Elle se leva et m’invita à rentrer à l’intérieur accompagnées de Roberto et Stéphane. Après avoir traversés quelques pièces joliment meublées nous empruntâmes un escalier pour descendre à un sous-sol et entrer dans une pièce munie d’une multitude d’objets. Carla se retourna vers moi pour me dire qu’elle allait jouer avec Roberto à la « soumise inversée ». Je fus assez effrayée d’entendre ce terme. Roberto nous invita à nous asseoir sur des chaises d’où nous allions voir la suite. Subitement j’étais inquiète de la suite d’autant plus que je voyais bien que beaucoup d’objet autour de moi étaient en fait des gadgets SM. Je m’assis à coté de steph sur un siège confortable en cuir noir dont la fraîcheur provoqua un frisson à tout mon corps en partant des fesses.

 

 

 

La suite me surpris un peu par son déroulement : je m’attendais à voir Roberto soumettre Carla mais en fait c’est Carla qui donna les ordres à Roberto pour qu’il la soumette. C’était elle qui choisissait ses supplices. Elle demanda d’abord à avoir les yeux bandés puis les mains liées à des menottes suspendues en l’air.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Elle se retrouva donc nue, les bras étirés légèrement vers le haut avec un bandeau sur les yeux. Je m’aperçus de nouveau que Carla était vraiment une belle femme, bien formée et très bien proportionnée. Steph devait se régalée. Elle avait une plus belle peau que la mienne, sans défaut et hâlée par le soleil de Séville. Inutile de préciser qu’aucune trace de vêtement ne venait ternir le bronzage uniforme jusque dans les moindres intimités….

 

 

 

Elle exigea ensuite de se « faire pénétrer par un vibro jusqu’à l’orgasme ». Roberto sans hésiter se saisit d’un gros vibro posé sur un table, le suça une fois dans sa bouche et l’enfonça sans ménagement dans la chatte de Carla qui s’ouvrit instantanément. Il n’actionna pas le bouton tout de suite et fit signe à Steph de s’approcher en silence pour venir pousser le bouton du vibro qui allait déclencher les caresses. Steph se leva, s’approcha et pressa ce bouton sans se faire prier. J’étais un peu jalouse : il était entrain de donner du plaisir à une autre femme qui ne le savait pas et sans la toucher.

 

 

 

Carla, rompue probablement à ce genre de jouissance, elle ne tarderait pas à rugir mais elle semblait contrôler et faire durer. Elle réclama alors que deux pinces lui soit posées sur les tétons. Roberto en attrapa deux qui n’était pas en fer mais dont le bout était légèrement cranté et un poids les prolongeait. Il s’approcha des deux mamelons, les caressa délicatement comme pour les faire durcir. Le résultat fut probant, je les vis se tendre en même temps que la respiration de Carla s’accélérait. Puis, soudainement, Roberto se tourna vers moi, s’avança en ma direction et me remit entre chaque main une des deux pinces. Il fit un léger signe de la tête en direction de Carla l’ordre était clair : c’était à moi d’aller les poser. Je ne bougeai pas mais Steph approuva de la tête. Cette approbation sonnait comme un deuxième ordre supérieur au premier. Je me levai donc en me dirigeant lentement vers Carla. Arrivée devant elle, mes pensées se bousculaient : j’allais pour la première fois toucher une femme pour lui causer une douleur mais c’était elle qui réclamait sa souffrance. Je comprenais alors l’expression « soumise inversée ». C’était presque moi qui devenait soumise : je devais exécuter des ordres mais la victime était celle qui donnait les ordres. J’étais perdue mais sans penser plus j’ouvris une pince ; je l’approcha du téton ; le recouvris des dents acérées de la pince puis je lâcha la pression sur les branches de la pince. Je vis alors à quelques centimètres de moi les petites dents s’enfoncer dans la chair brune du téton. La bouche de Carla s’ouvrit sans un bruit, son corps se tendit puis elle sourit comme si elle était comblée. Son sein était si ferme qu’il ne ploya pas sous le poids.

 

 

 

 

 A la deuxième pince, elle eut la même réaction, mais son sourire fut plus satisfait encore. Trois secondes plus tard, elle jouissait devant moi comme si elle avait attendu que les pinces lui soient posées pour libérer son plaisir. J’étais admirative de la maîtrise de Carla sur son corps et ses plaisirs.

 

 

 

 

Je venais de recevoir une grande leçon et pris conscience de la route qu’il me restait à parcourir. Cette femme était vraiment FEMME , elle commandait son plaisir, elle jouissait au moment qu ‘elle voulait et transformait les sévices en caresses qui la rapprochaient de l’explosion.

 

 

 

Un peu sous le choc, et envahie par ce que je venais de voir je pris un bandeau et deux pinces-anneaux avec chaînette sur la table. Sous le regard étincelant de Stéphane, je me recouvris les yeux du bandeau et me mis moi-même sur mes propres tétons les deux anneaux en enserrant fortement mes chairs. J’ai fermé les yeux pendant un long instant tellement la douleur fut vive. Mais je parvins à réprouver un cri. Une fois recentrée sur moi-même, je saisis la chaînette et la tendis en direction de Stéphane.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Moi aussi, je voulais montrer ma capacité à prendre sur moi et à respecter mes engagements de prisonnière. Stéphane me félicita à haute voix et me conduisis en tirant sur la chaînette hors de la pièce au soleil. Curieuse sensation d’être en laisse par les seins et par ses soins…

 

 

Une fois sous le soleil brûlant il m’ôta le bandeau pour que je me vois prisonnière par les tétons. Il me dit « regarde toi ma prisonnière, tu es la plus belle, la plus courageuse et la plus fidèle à tes engagements. Je suis fière de toi et à compter de maintenant tu es   libérée ».

 

 

 

 « Mais ne l’étais-je pas déjà avant ? »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Je me suis surprise moi-même à être allée aussi loin. Jamais avant cette aventure je m’en serai crue capable et je n’en aurai eu envie. C’est curieux, pendant ce WE, j’ai l’impression de ne pas avoir été tout le temps moi-même ou bien, peut-être, que je me connaissais mal finalement.  Avant je pensais qu’être attachée revenait à être considérée comme un objet sexuel uniquement. Je ne voulais pas de cette sexualité.

 

 

 

Pendant ces deux jours, j’ai compris que même attachée, j’étais respectée par Stéphane et j’ai découvert en rencontrant brièvement Carla que je pouvais apprendre à diriger mon plaisir bien plus que je ne le faisais. S’ouvre à moi désormais un champ inattendu de progrès vers une sexualité et un plaisir plus complet et moins routinier.

 

 

Stéphane voulait que je découvre l’art d’être prisonnière, j’ai découvert bien plus : celui d’être une femme épanouie dans son plaisir ET LA PUISSANCE DE LA LIBERTE DANS SA SEXUALITE.

 

 

 

 

 

A toutes les femmes…

 

 

 

 

 

Antonia

 

 

du_antonia@yahoo.fr
Par antonia - Publié dans : antonia-histoires
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