Vendredi 19 janvier 5 19 /01 /Jan 21:59
Par antonia - Publié dans : antonia-histoires
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Vendredi 19 janvier 5 19 /01 /Jan 21:55

Voici mon autre site plus complet et plus imagé

http://intimite-feminine-antonia.blog4ever.com/

Par antonia - Publié dans : antonia-histoires
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Mercredi 12 avril 3 12 /04 /Avr 19:16

Comme vous le comprendrez et vous le verrez, je suis une femme.

Je m'adonne à des jeux coquins, à des situations coquines qui peuvent parfois aller assez loin. Cela a été le fruit d'un long cheminement et le fruit d'une sexualité qui s'épanouit chaque jour un peu plus en couple.

Mon expérience n'est qu'une expérience et mon récit ne doit servir que de témoignage personnel. Peut-être fera t'il réagir, peut-être inspirera t'il, mais en tout cas j'espère qu'il ne choquera personne.

Au début , je n'avais pas prévu de mettre des photos mais la demande de nombreuses lectrices et lecteurs m'y a incité. Je tiens malgré tout à rester discrète.

Enfin, ce site se destine surtout aux femmes et aux couples. Leurs réactions sont souvent interessantes et me font réfléchir. Toutefois, les hommes sont les bienvenus à condition de rester respecteux.

Bonne lecture , Antonia

Par antonia - Publié dans : antonia-histoires
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Lundi 3 avril 1 03 /04 /Avr 05:25

 

 

 

 

Un week-end d’épreuves coquines

 


 du_antonia@yahoo.fr

 

Je me présente :

Je suis une jeune femme de trente ans, mariée avec un enfant ; je m’appelle Antonia. J’ai des origines basque. Je suis fidèle à mon mari et ne l’ai jamais trompé.

Physiquement, je plais aux hommes et j’aime plaire surtout à mon mari. Je mesure 1,65 mètre pour 58 kg ; une poitrine avantageuse (85 D) des yeux bleus, des cheveux mi-longs, chatains. J’éprouve un certain plaisir à m’habiller sexy surtout pour allumer mon mari ; je porte facilement des jupes courtes voire très courtes et des hauts avec décolleté suggestifs et affriolants et souvent des hauts talons. Je prête attention à ne jamais tomber dans la vulgarité.  Au niveau des sous-vêtements, je ne me refuse rien : strings, soutien-gorges balconnet, porte-jartelles, bas classiques ou à résille. Il m’arrive parfois de pas mettre de culotte pour émoustiller mon mari. Ca marche très fort, et même si parfois je suis gênée, je suis souvent excitée lorsque je ne mets aucune culotte.


 



Mon aventure :

Je vais vous raconter le début de mon week-end. Si ça vous intéresse que je termine vous invite à m’écrire et je terminerai mon récit. N’hésitez pas à me faire part de vos remarques, de vos suggestions ou de vos questions, j’y répondrai volontiers. Je ne suis pas très convaincue de mes qualités de narratrice ni de l’intérêt de mon aventure. Je suis particulièrement friande des réactions des lectrices et je voudrais notamment connaître leurs impressions et savoir si elles ont connu ou souhaiteraient connaître semblables situations. Vous pouvez faire circuler mon récit entre copines, je n’y vois aucune objection. Racontez-moi les réactions ; ça m’intéresse. Si un homme lit mon histoire, je l’invite à la faire partager aux femmes de son entourage.

Pour les 31 ans de mon mari, j’avais envie de marquer le coup car en raison de la naissance de notre enfant nous n’avions pas pu fêter ses trente ans. Trois semaines avant son anniversaire, je lui demande donc ce qui lui ferait plaisir pour son anniversaire. Il me réponds, j’y réfléchis et te dis dans trois jours. Trois jours plus tard, un matin, après le départ de mon mari, Stéphane, au travail, je trouve sur la table du petit déjeuner une lettre qui m’était adressée. Je l’ouvre. Voici ce que j’y lis :

 

 

 

"Antonia, mon aimée,

 Pour mes 31 ans, je te veux TOI,

Pendant un week-end, tu seras à MOI

Ma prisonnière selon mes douces volontés

Prépare-toi au départ pour le 24 mai

Sans culotte, aux lèvres épilées

Je te veux pour unique cadeau

 


Ton amour, Stéphane

Ps: Pour cela, j’organise en amoureux, un petit voyage surprise d’un week-end dans un coin paradisiaque. Acceptes-tu ?"

Après la lecture de cette lettre, je suis restée bouche bée et pensive. J’ai relu les termes exacts du petit mot. Je me sentais  flattée d’être avec lui en amoureux et à lui pour un WE entier, ça avait quelque chose d’excitant. Je savais que Stéphane avais un goût exquis pour les surprises. En même, j’hésitais sur deux points. je pris plusieurs jours pour y réfléchir.

D’une part en acceptant, je consentais à être sa prisonnière. En fait sur ce point je n’étais pas très inquiète car souvent (depuis trois ans environ), pour pimenter nos ébats amoureux et leur donner du piquant, un de nous était prisonnier de l’autre. Nous avions donc une certaine habitude et cela nous donnait beaucoup de plaisir réciproque. C’est ainsi que Stéphane a dû, un jour, me donner le plaisir suprême sans l’usage de ses mains (liées par mes soins dans son dos avec un de mes foulards de soie), cette fois là, grâce à ses divines « léchouilles », j’ai joui debout en coulant généreusement dans sa bouche ouverte. J’en garde un souvenir inoubliable. Prisonnière, j’ai aussi appris, avec les yeux bandés, à découvrir tout le corps de Stéphane. Une autre fois, ce fut l’inverse, j’avais encore les yeux bandées et Stéphane, en guise de préliminaires, m’a caressé toutes les parties du corps d’abord avec une plume puis du bout des doigts. Bref, nos expérience de prisonnier(e) dans le couple rimaient avec plaisir extrême.

Par contre, je restais hésitante sur l’épilation totale des lèvres. J’avais pourtant l’habitude de m’épiler moi-même le maillot de près (à la cire tiède). Mais là il s’agissait des lèvres, j’avais peur de la douleur…Jamais je ne l’avais fait. Ne sachant que faire, je pris soin de me renseigner sur Internet sur les différentes méthodes d’épilation intime et la lecture de plusieurs témoignages de femmes pleinement satisfaites de leurs expérience me rassura.

Très rapidement j’ai décidée de lui répondre par l’affirmative.

Le 13 mai, j’ouvris Internet et je lui ai  envoyé un mail sans adresse de l’expéditeur avec pour unique message:

«  oui »

Je m’étais lancée…, vers où ?

Le 13 au soir en rentrant du travail, Stéphane ne laissait rien paraître.

Mais après le repas, il me dit tout simplement : « Je nous organise un petit WE surprise en amoureux le 23-24-25 mai, il faudrait qu’on demande à tes parents s’ils sont ok pour nous garder Xavier ». Je suis immédiatement rentrée dans son jeu et j’ai répondu «  je m’occupe de leur demander ». Il enchaîna en me disant qu’il gérait entièrement les soucis matériels et qu’il se chargeait de faire nos valises. Cela ma surpris un peu mais je n’ai rien répondu.

C’est ainsi que pendant les jours qui suivirent, la pression est montée doucement. En fait, ce qui me souciait le plus c’était mon épilation intime des lèvres…

Le 22 au soir, veille de notre départ, j’ai tenté de questionner Stéphane pour en savoir un peu plus. Il ne m’a rien dit de plus sauf qu’il fallait que je sois prête à partir le lendemain à 16 heures.

Le lendemain, je me suis donc levée assez inquiète. Le matin, j’ai organisé le départ de notre fils et à midi je me suis retrouvée seule avec mon projet d’épilation. Après avoir réfléchi et m’être documentée, j’ai choisi une méthode mixte : je me suis épilée de très près le pubis en tentant de dessiner un triangle avec les poils restants. Le résultat était plutôt bien, le triangle avait la pointe en bas, c’est-à-dire en haut de la naissance des lèvres. Finalement, j’ai trouvé cela joli. Pour ce qui est des lèvres, je n’ai pris aucun risque et pour la première fois de ma vie, j’ai pris un rasoir « lady » et une mousse à raser spéciale. Assise sur le bord de ma baignoire, les jambes écartées, avec une bonne lumière, je me suis délicatement et méticuleusement rasée les deux lèvres et les petits poils vers l’anus. Je me suis vraiment rendue compte du résultat après m’être rincée : je ne m’étais pas coupée et mes lèvres étaient lisses comme quand j’étais petite fille. Cela fait drôle et mon petit triangle de poils m’a rassurée, j’étais encore une femme. J’avais la peau un peu irritée, mais dans les heures qui ont suivi, l’irritation s’est rapidement estompée.

L’heure avançait et il fallait que je finisse de me préparer : vernis à ongle rouge sur les doigts de pied et sur les mains, rouge à lèvres aux tons chauds cuivrés, petit brushing, mascara, et bijoux. Je me parfumais la nuque, la poitrine et le triangle de vénus. Je me sentais belle. Il ne me manquait que les vêtements. Je voulais être sexy sans vulgarité. J’ai choisi le style BCBG : une jupe courte (au dessus du genou) en cuir retourné beige, des bas auto-adhésifs couleur chair, un petit chemisier noir avec les trois derniers boutons défaits pour laisser apparaître mes deux seins serrés dans le soutien-gorge, une petite veste saharienne beige, mocassins à talon. Pour le moment, je décidais de mettre un string ficelle et dentelle noire alors que les consignes me demandaient l’inverse, mais je me disais que j’aurais l’occasion de l’enlever plus tard.

A son arrivée à la maison vers 16h30, Stéphane m’embrassa, me demanda si j’étais prête et me félicita en me disant qu’il me trouvait belle et désirable. Cela m’a fait plaisir. Il pris quelques instants dans la chambre, ressortit avec un sac de voyage à la main et me dit «  en route  ma belle ». Je partais donc sans avoir pris aucune affaire, Stéphane avait tout géré.

Nous étions partis pour l’inconnu.

Arrivés à la gare contre toute attente nous avons pris un bus direction d’Orly. Je ne m’y attendais pas. Sur le trajet, Stéphane ouvrit le sac, en sortit un cadeau empaqueté et me l’offrit en m’embrassant. Je l’ouvris délicatement pour découvrir un guide touristique de Séville. « Voilà notre destination surprise » me dit-il. J’étais toute contente de notre destination. Nous partions au soleil.

Après les rapides mesures d’embarquement, nous nous sommes retrouvés assis dans l’avion au départ de 19h30. j’étais heureuse et félicitais Stéphane pour son goût des surprises exquises. Après avoir pris un rapide repas servi par les hôtesses, je suis partie aux toilettes et avant d’en repartir, sans hésiter, j’ai passé un doigt de chaque côté de l’élastique de mon string pour le descendre sur mes chevilles. Je l’ai retiré pour le glisser dans une enveloppe prise dans mon sac à main sur laquelle j’avais marqué « Stéphane » et dans le coin en bas «  ta douce prisonnière, Antonia ». Je venais de sceller mon sort.

 Je sortis des toilettes un peu excitée de ma hardiesse et arrivée au niveau de Stéphane je lui offrais l’enveloppe. Il l’a décachetait et compris tout de suite de quoi il s’agissait. Il me sourit. Après quelques instants, il me susurra à l’oreille : tu as un peu de retard dans le respect de tes engagements, nous verrons cela plus tard.

 

 J’étais fière de moi, paradoxalement je me sentais libre et trouvais que ce week-end commençait merveilleusement bien.

A notre arrivée, vers 20 h00 heure, je fus surprise par la chaleur en sortant de l'avion. Nous étions bien loin des températures parisiennes.

Nous nous sommes engouffrés dans un taxi direction notre hôtel, qui ressemblait plutôt à une chambre d'hôte. L'établissement, une superbe maison particulière sévillane avec parc, piscine, terrasse comportait cinq chambres pour les clients. Nous avions pour nous celle au troisième étage, sous les toits. Elle était très grande avec une salle de bain attenante et un petit coin salon. Elle était douillette, chaleureuse, cossue, avec de nombreuses boiseries apparentes dont certaines poutres de la charpente.

Nous avons posé nos affaires, nous sommes descendus prendre un rafraîchissement sur la terrasse à la tiédeur de la soirée. Rapidement, l'envie de nous retrouver tous les deux nous a gagnés. Fougueusement, nous avons regagné notre chambre et Stéphane m'a offert une merveilleuse soirée d'amour : après m'avoir longuement embrassé et caressé, il m'a progressivement effeuillé le corps de mes vêtements.

Quand il m'a fait glisser ma jupe le long de mes jambes, j'ai vu son visage s'illuminer à la vue de ma chatte épilée avec attention selon les consignes reçues. Il le savait pourtant, puisqu'il me l'avait demandé, mais je crois, sans prétention de ma part, que le spectacle l'a ravi. J'étais assez fière de mon coup et j'ai ressenti beaucoup de plaisir à lui plaire autant.

Stéphane a commencé alors une longue et langoureuse caresse de mon abricot qui s'ouvrait d'autant plus. D'abord les grandes lèvres puis les petites et enfin le clitoris. Je n'ai pu résister longtemps à autant d'adresse et d'amour. Allongée nue sur le lit, les jambes entrouvertes, mon ventre s'est rempli de plaisir, j'ai eu des spasmes dans le bas-ventre et j'ai  fini par exploser sous ses doigts.

Immédiatement, j'ai demandé à Stéphane de me pénétrer. Sans se faire attendre, il s'est exécuté et mon plaisir s'est doublé du sien et de son explosion en moi.

Nous étions comblés et repus d'un amour d'une rare intensité.

Après tant de fougue, le sommeil nous gagna rapidement.

Au petit matin, la faim nous tenaillait, rapidement nous descendions au salon prendre notre petit déjeuner. Je descendis la première en robe de chambre et quelques instants après Stéphane me suivit. Après nous être restaurés, Stéphane me dit «  je vais me baigner dans la piscine, tu vas mettre un maillot et tu me rejoins ».

Je suis alors montée dans la chambre et dès que je suis entrée j’ai aperçu un petit colis au milieu du lit estampillé « premier cadeau ».

Après l’avoir délicatement ouvert, j’ai découvert trois maillots de bain : un noir, un jaune et un rouge. Je ne comprenais rien ; sous ces trois maillots une petite enveloppe avec à l’intérieur une carte sur laquelle j’ai lu : « En acceptant d’être ta prisonnière ce week-end, je suis entièrement à toi et je m’engage à te faire un strip-tease intégral en dehors de l’hôtel avant dimanche soir. J’ai désormais trois choix et l’étendu de mon engagement dépend de la couleur du maillot de bain que je vais porter :

??Le noir : je ferai ce que je voudrai de ce que tu me demanderas

Le jaune : je ferai tout ce que tu me demanderas

Le rouge : je ferai tout ce que tu me demanderas et prendrai en plus des initiatives coquines»

Le week-end démarrait vraiment. Sans hésiter, j’ai choisi le rouge. J’avais envie de tenir entièrement mon engagement initial pris avant le départ et je voulais conserver une part d’initiative qui sonnait comme une sorte de liberté. Pour le strip-tease, j’avais le temps de voir.

Cependant en prenant le maillot rouge je me suis rendue compte que tous les petits détails étaient soignés puisque le maillot avec lequel je me livrais le plus était aussi le plus mini. Ainsi, je me retrouvais en maillot deux pièce : string pour le bas et un top qui couvrait à peine mes seins noué derrière la nuque et dans le dos. Je me dégonflais pas. Ainsi vêtue, je passais de nouveau ma robe de chambre et descendais rejoindre Stéphane allongé au bord de l’eau à bronzer.

Je ménageais le suspense en gardant ma robe de chambre le pus longtemps possible. Arrivée à ses cotés, négligemment je la faisais tomber à mes pieds ; Stéphane me fit un grand sourire et me dit « tu es ténébreuse ». Je m’allongeais à coté de lui et lui demandais de me mettre un peu d’huile sur le corps. Stéphane s’est exécuté sans discuter et je le sentais tout émoustillé de me voir ainsi. L’huile me coulait dessus et les mains de Steph me caressaient tout le corps. J’ai bien vu qu’il bandait sous son maillot, mais j’en ai profité et lui ai dit «  le haut doit te gêner pour étaler l’huile, enlève-le s’il te plait ». Je crois que je l’ai un peu bleufé sur le coup. Les noueux défaits, je portais plus que le string ; Je me suis mise alors sur le dos en demandant à Steph d’enduire d’huile les deux côtés.

De me voir ainsi, seins à l’air, en string, au bord d’une piscine, j’ai cru que Stéphane allait exploser. Je dois reconnaître que cela ne me laissait de marbre surtout que Stéph ne s’est pas privé de me caresser habillement l’intérieur des cuisses ( j’adore ça) et la poitrine. Pour refroidir les ardeurs, tout en me levant je laissait glisser ma main sur le sexe dur de Steph et partait plonger dans l’eau.

Trois secondes plus tard, Steph plongeait à son tour et venait me prendre dans ses bras.

Seuls dans l’eau, après quelques mouvements, j’ai collé Steph contre un bord et délicatement avec les mains et les pieds j’ai fait glisser son maillot au fond de l’eau.

Il était nu, la queue tendue comme une flèche. Sans perdre un instant, je pris une grande respiration et descendis sous l’eau pour lui engloutir le sexe. Ma première pipe sous-marine.

Évidemment je n’ai pu le sucer jusqu’à la jouissance, l’air me manquait. En remontant ,je sentie que Stéphane à son tour m’ôtait le string. C’est alors que n’y tenant plus, je me suis pénétrée les entrailles de Steph en le tenant par les épaules et lui étreignant puissamment la taille avec mec jambes serrées. La pénétration fut profonde et brutale, le plaisir immense.

Après une telle mise en bouche Stéphane avait compris que je ne serai pas que passive…

Après un petit repos réparateur au bord de l’eau et une petit brunch à la terrasse, Steph s’absenta quelques instants et en revenant me dis «  je pense que tu devrais aller t’habiller ».

Comprenant l’injonction, je me suis rendue à la chambre et, comme après le petit déjeuner, je découvrais une deuxième boite, plus grosse, sur le lit estampillée «  deuxième cadeau ».

 Après l’ouverture, je saisissais une nouvelle enveloppe avec le texte suivant :

«  A 17 heure précise, tu te constitueras prisonnière. Tu attendras dans la chambre, sous le lustre, les mains jointes derrière la nuque, les jambes écartées. Tu porteras, sur les yeux, un bandeau noir, aux pieds tes chaussures noires à talon haut, des bas noirs et un bracelet à chaque poignet. Tu peux mettre un soutien-gorge ou un porte-jarretelles si tu le souhaites. Tous les accessoires sont au fond de la boite. Par ailleurs tu trouveras aussi une enveloppe avec 300 euros pour aller t’acheter seule cet après-midi une tenue pour ce soir et des chaussures. Ton grain de beauté sur ta cuisse gauche ne devra pas être couvert de tissus et le décolleté sera suggestif. Pour les chaussures, le talon sera haut et elles se laceront autour de la jambe ou bien avec une sangle autour de la cheville.

Sois prête et prisonnière pour 17 heure… »


 

Ca se corsait subitement.

Au fond de la boite, il y avait effectivement tous les accessoires promis : le bandeau, les bas, un soutien gorge,  un porte-jarretelles noir, et deux bracelets de cuir avec un petit anneau métallique. L’enveloppe avec ses 300 euros.


 

Un week-end d’épreuves coquines (suite 1)

 



 

L’idée d’aller flâner dans les magasins pour faire mes emplettes ne me déplaisait pas. Il était midi, j’avais 5 heures devant moi. J’enfilais rapidement les vêtements de la veille, je n’avais que ceux-là.

 


En descendant de la chambre, je passais par la terrasse où Stéphane flânait encore en bronzant. Quand il me vit il m’embrassa me demandant ce que  je faisais l’air innocent. Je lui répondis : «  je vais faire quelques courses je reviens tout à l’heure ». Il sembla satisfait de la réponse et me regarda partir tranquillement.

Dés la sortie de la maison, je sautais dans un bus qui me conduisit au centre ville non loin de là. Je ne connaissais rien de Séville et flirtait un peu au hasard des rues. Au gré des déambulations, je me suis retrouvée dans un quartier commerçant et mes  notions d’espagnol, certes scolaires, mais entretenues, m’ont bien aidé dans mes démarches. Je n’avais aucune idée du style de tenue que je voulais acheter . J’ai commencé par chercher les vêtements me disant qu’ensuite j’y assortirais des chaussures. J’ai cru que j’avais trouvé mon bonheur avec un petit ensemble (mini jupe et veste) écossais et plissé. Je m’étais décidée à l’essayer mais (je ne sais pas si vous avez déjà essayé) ce n’est pas évident de se retrouver seule dans une cabine d’essayage sans culotte. J’avais en permanence la hantise que quelqu’un me voit. Peu importe que ce soit un homme ou une femme. Je m’empressais de passer ma jupe et je n’osais à peine sortir de la cabine. Par ailleurs, je me suis rendue comte que c’était compliqué de choisir seule des vêtements.  Il faut dire que d’habitude j’y vais toujours accompagnée. Au final, ce petit ensemble écossais m’allait bien, il respectait les consignes de longueur puisque cette jupette était vraiment micro (30cm environ) et mon grain de beauté situé 10 cm environ au dessus du genou voyait bien le jour. Le seul souci : je trouvais cela classique et sans originalité. Je continuais donc mes recherches et entrais, un peu plus loin, dans un magasin de vêtements régionaux pour femme. Vous imaginez donc toutes les robes magnifiques sévillanes avec volants, poids aux couleurs vives. Le seul souci s’était la longueur des robes : toutes longues….

Toutes, sauf une, que la vendeuse me proposa et ce fut le coup de foudre :  une jupette noire forme trapèze avec des petits volants ornés de petits poids rouges. Elle se portait avec un corset rouge à poids noirs, faussement lacé dans le dos (en fait il y avait caché, sur le côté, une rangée d’agrafes pour le mettre plus facilement). Sans hésiter, je me glissais dans la cabine pour le passer, curieusement mon absence de culotte me dérangea moins dans ce magasin, beaucoup plus intime et moins fréquenté. Je sortais de la cabine, me regardais dans une glace : c’est vrai , ça m’allait bien. Cependant, la vendeuse me fit remarquer que le bustier se portait d’habitude sans soutien-gorge, c’était plus beau de ne pas voir les bretelles du soutif. J’en convenais et j’aurais dû m’en rendre compte seule. Toute excitée de ma trouvaille, je rentrai dans la cabine, ôtais le bustier, libérais mes seins aux tétons tout dur pour les recomprimer dans ce bustier qui se révélait alors plus moulant que prévu. Il faut dire que ma poitrine d’un coup se montrait fort découverte et avantageusement compresser au point de souligner le galbe de mes seins. Tout cela me semblait osé. Se rajouter à cela, que le bustier moulait bien mon ventre, ce qui faisait ressortir le gonflé de mes seins. J’étais un peu gênée pour sortir. La vendeuse, fine observatrice, sut le voir et me proposa une magnifique petite veste boléro noir que je m’empressais de prendre et qui effaça ma pudeur encombrante.

Parée de cet ensemble, je me plaisais et je sentais que je lui plairais. J’étais conquise.

Un seul détail me tourmenta : le grain de beauté de ma jambe était recouvert. J’étais ennuyée, mais comment l’expliquer. Sans perdre mon aplomb, je demandais à ce que la jupe soit légèrement raccourcie. La vendeuse comprit et se mis à genoux pour prendre les mesures du raccourci. A ce moment là, je me trompe peut-être, mais j’ai eu l’impression qu’elle s’était aperçue que je n’avais pas de culotte. Ce n’était qu’une impression, mais c’est ce que j’ai lu dans son regard et son sourire. Je suis devenue rouge pivoine un instant. La vendeuse le vit mais ne dit rien. Est-ce mon imagination ?

Après avoir repris mes esprits, je payais, leur confiais mon ourlet à faire dans les plus brefs délais et m’échappais à la recherche des chaussures appareillées. Je n’ai pas traînée pour trouver mon bonheur : des talons aiguilles noirs avec un liseré rouge et deux sangles fines me tenant les chevilles.

Après avoir récupérer ma jupe raccourcie, je sautais dans un taxi pour ne pas être en retard pour mon rendez-vous de 17 heure. J’étais fière de mes trouvailles et de mes achats. En respectant les consignes de Stéphane, je m’amusais bien finalement.

Arrivée à 16 h 10 à notre chambre, je n’avais pas aperçu Stéphane. J’entrepris alors de me préparer en relisant d’abord la lettre :

« A 17 heure précise, tu te constitueras prisonnière. Tu attendras dans la chambre, sous le lustre, les mains jointes derrière la nuque, les jambes écartées. Tu porteras, sur les yeux, un bandeau noir, aux pieds tes chaussures noires à talon haut, des bas noirs et un bracelet à chaque poignet. Tu peux mettre un soutien-gorge ou un porte-jarretelles si tu le souhaites. Tous les accessoires sont au fond de la boite ».

D’un seul coup j’ai senti la pression montée. Ce qui m’était demandé m’angoissait un peu, je crois. Pourtant j’avais pleinement confiance en Stéphane et nous avais déjà pratiqué ces jeux mais sans toute cette mise en scène. Pour me décontracter, je commençais par une douche suivi d’un maquillage et je me parfumais le corps. Encore nue, je me dirigeais vers la boite offerte pour en prendre le contenu. Comme pour me rassurer, j’ai commencé par mettre le soutif, certes pigeonnant à souhait, mais qui me couvrait un peu. Ensuite, j’ai choisi les bas et le porte-jarretelles. En fait il n’y avait pas besoin du porte-jarretelles puisque les bas étaient auto-collants mais je me sentais mieux ainsi. J’ai chaussé mes hauts talons fraîchement achetés. Puis, vint le moment des bracelets. Ces bracelets, je les connaissais, dans nos jeux érotiques je les avais déjà portés une fois dans les Pyrénées. Ils n’avaient alors pas beaucoup servi et je préférais un bon foulard noué. Mais avais-je le choix ?

Je me sanglais donc chacun des poignets sans serrer. Çà fait tout drôle de se voir avec des bracelets noirs aux poignets, surtout posés par ses propres soins.

Il ne restait plus que le bandeau. Avant de me le poser, je me dirigeais, un peu frémissante, vers le lustre. Encore aujourd’hui, en écrivant ce moment particulier de mon aventure, je frissonne. A 16h 57, je vis pour la dernière fois les chiffres rouges du réveil ; je me suis passée le bandeau noir élastique sur les yeux ; j’ai écarté les jambes et posé mes mains derrière la nuque.

 


 

 

 

 

 

L’attente m’a semblé immense. Peut-être cinq, sept ou bien dix minutes. Peut-être plus. Stéphane faisait-il exprès ou est-ce moi qui avait perdu la notion du temps ?

Soudain, j’entendis la porte s’ouvrir mais aucun mot. L’angoisse montait, j’ai failli céder à ce moment-là, tellement c’était insoutenable de ne pas savoir qui était entré. Et si c’était le personnel de chambre ? J’ai murmuré alors « Stéphane ? ». Aucune réponse. C’était trop cruel.

J’ai entendu des petits bruits dans mon dos, puis une musique. Cela aurait dû accentuer mon angoisse mais le contraire se produisit car cette musique c’était la nôtre, celle de nos ébats amoureux. Sans parler, Stéphane m’avait fait comprendre qu’il était là pour moi et pour l’amour. Il était fort.  Je me détendis.

Subitement des  effleurements, des caresses de mains m’ont parcouru le corps. Quand on est détendu c’est terriblement excitant de sentir des caresses sans les voir. Car , si le caresseur est doué, il vous les fait à des endroits inattendus. Tout le plaisir se situe dans la surprise. Essayez ! Vous comprendrez !

Ca a duré plusieurs minutes au point que mes lèvres intimes se sont franchement humidifiées. Pourtant, elles n’avaient pas été touchées.

Pendant quelques instants tout c’est arrêté. En fait, je ne l’ai su qu’après, Stéphane a fait de moi de nombreuses photos, dans toutes les positions.

 

 

 

 

 

 

 

 

Ces photos sont rangées dans notre album secret de couple que l’on continue à alimenter pour nous. Cela m’a fait tout drôle de me voir, de nous voir après. Certaines, ( pas toutes ) sont très belles, je dois le reconnaître. Avec le retardateur, il en a même pris avec nous deux sur la photo.

 

 



 

 

 

 


Après cette première séance photographique secrète, Stéphane m’a pris délicatement les mains derrière la nuque pour les faire glisser dans le dos au niveau des reins. J’ai senti et entendu un petit cliquetis : un mousqueton venait de relier les deux anneaux de mes bracelets de poignet. J’étais belle et bien prisonnière mais je me sentais parfaitement bien et en confiance.

En me pressant les épaules vers le bas, Stéphane me fit mettre à genou et ses deux mains m’écartèrent ces mêmes genoux. Imaginez-moi un instant : J’étais au milieu d’une chambre, en partie nue, entre les mains d’un inconnu dévoilé, les yeux bandés, les mains liées dans le dos, à genoux, les jambes écartées……

Qu’allais-je devoir faire ?
Par antonia - Publié dans : antonia-histoires
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Lundi 3 avril 1 03 /04 /Avr 05:20

Un week-end d’épreuves coquines (suite 2)

 


 

 
Pendant quelques instants , il ne se passa rien. La musique continuait sa mélodie et je sentais Stéphane bouger autour de moi.

Soudain, ce qui devait m’arriver  m’arriva …

Une chair humide effleura les lèvres de ma bouche. A partir de ce moment je compris que j’allais devoir sucer mon homme. A la différence de la veille dans la piscine, cette fois là rien ne m’empêcherait d’aller jusqu’au bout. Cependant l’entreprise n’était pas facile car la pipe se taillait sans les mains et sans les yeux. Je vous invite toutes à essayer pour en comprendre la difficulté : le gourdin dur de Stéphane faisait ce qu’il voulait. Il s’enfoncait dans ma gorge s’il voulait, se retirer tout d’un coup. Bref, les conditions me semblaient extrêmes. Cependant, je n’en étais pas à mon coup d’essai puisque depuis longtemps nous avions conclu une sorte de contrat avec Stéphane dans lequel je m’engageais à ne plus utiliser mes mains quand je le suçais. Cela durait depuis 18 mois, et je m’étais habituée à palier ce handicap. Finalement, je crois que désormais j’y arrive aussi bien avec ou sans les mains. La seule différence, c’est que privée des mains ( souvent jointe dans mon dos) l’excitation de Stéphane décuple. Alors pourquoi se priver de ce qui est bon…

Dans le cas présent, la tache se compliquait encore car je n’y voyais pas. Mais avais-je le choix ?

 Je m’appliquais donc à commencer par lui lécher le gland découvert qui me semblait lisse et qui suintait déjà le plaisir. Paradoxalement ce produisit un sentiment totalement inattendu : dans ce contexte de prisonnière entièrement soumise aux fantasmes de mon homme je me suis sentie libre. En effet, j’en faisais à ma guise pour sucer cette queue et mon adresse et son plaisir immobilisèrent Stéphane qui se laissa faire au point que j’eus la sensation que c’était lui mon prisonnier. Il se pliait à mon rythme, à mes fantaisies, à mes gobages, à mes sussions appuyées…. Il ne contrôlait plus rien et se laissait guider. J’avais repris la main si je puis dire… J’étais LIBRE.

 J’étais contente d’avoir renversé la vapeur et je fis durer aussi longtemps que je voulus.

Après de nombreux va et vient profonds, je sentis un petit picotement dans ma bouche synonyme d’une explosion imminente. Alors, je fis le choix d’intensifier le mouvement en me préparant à recevoir la semence en ma bouche. Dans un ultime cri, Stéphane se déchargea dans mes papilles et consciente toutefois de mon statut de prisonnière je pris soin d’avaler chacune de ses gouttes. Le goût n’est pas excellent car le sperme est acre mais il me semblait qu’une prisonnière loyale ne recrache rien et savoure au contraire.

Rassasiée de cet élixir, je restais immobile toujours dans ma position et je sentais Stéphane récupérer des émotions que je lui avais provoquées.

Au bout de quelques minutes, Stéphane me releva me fit faire quelques pas et me demanda de monter sur une sorte de chaise. Je n’étais vraiment pas bien, car j’avais peur de chuter. Il me démousquetonna les mains et me fit glisser les bretelles du  soutien-gorge. Puis me reprenant les mains il me lia de nouveau avec le mousqueton qu’il cliqua très haut au-dessus de ma tête au point que mes bras se tendirent.

La musique continuait ses mélodies envoûtantes.

Ce qui allait m'arriver m'excite encore aujourd'hui.

            Suspendue au bout d'une ma corde, nue, les jambes écartées, les yeux bandés...J'ai senti les crochets de mon soutien-gorge sauter un à un. Au dernier ma poitrine se libéra, le soutien gorge tomba. Mes bas et mon porte-jarretelles pour seuls ornements...

            Pendant quelques instants rien ( sauf quelques nouvelles photos).

            Puis, un effleurement sur un sein, sur une jambe, dans le cou, l'autre sein, au creux des reins, une fesse, la raie des fesses ...une caresse sur le ventre, sur le visage, dans les cheveux, à l'intérieur des cuisses...

            Puis un doigt passe et enflamme mes lèvres qui s'humidifient au fil des minutes. Je m'embrase. Presque rien ne s'est encore passé et pourtant le feu brûle en moi.

            De nouveau quelques instants ou rien ne se passe et tout d'un coup Stéphane me fait m'abandonner : sûrement agenouillé devant moi, de sa langue pointue d'abord il me léchouille tout la longueur des grandes lèvres sans toucher ni les petites lèvres ni mon clito. Que sa langue était chaude.

            A cette chaleur, mon abricot a très vite mûri et ses lèvres gonflées se sont entrouvertes toutes seules pour mieux laisser entrer le soleil de sa bouche. Le sirop commençait à couler…. J’ai découvert à ce moment-là les avantages de l’épilation des lèvres : le plaisir est décuplé, le contact doux de la langue se fait directement sur la peau en feu. Par ailleurs je comprends que pour Stéphane, l’absence de poils dans la bouche doit être agréable ( quand je le suce, je déteste avoir un de ses poils dans la bouche) .

            Petit à petit ses léchouilles se sont faites plus profondes et plus insoutenables. Sa langue a pris soin de se concentrer sur les pourtours de mon clito. Il dessinait des cercles autour de mon bouton de fleur qui s’était gorgé de sang pour prendre le maximum de plaisir. Ce genre de caresse me rend folle, il le savait, il en abusait. Ma respiration est devenue plus soutenue et plus soutenue encore quand tout en me léchant il me caressait soit les fesses soit les seins. Tout s’enflammait je ne contrôlais plus rien.

            Je pensais que je ne parviendrais pas à jouir dans cette position où mon corps, suspendu à une corde, touchait à peine le sol avec mes talons aiguilles. Mes jambes commençait à flotter au rythme des spasmes qui m’envahissaient. Allaient-elles flancher ? Je me suis astreinte à tenir, résister, pour connaître jusqu’au bout mon mûrissement et mon explosion.

            Grâce à la hardiesse de Stéphane et à la  puissance de sa langue experte, subitement j’ai tremblé des pieds jusqu’à la tête, mon ventre s’est contracté, et mes chairs ont explosé de plaisir. Un cri langoureux est sorti de ma poitrine. J’était vaincue.

            Le miel a coulé de mes lèvres, aucune goutte n’a dû être perdue tellement Stéphane s’appliquait pour les recueillir dans sa bouche et les boire. Moi, la buveuse de son sperme, j’étais bue à mon tour….

            Je ne sais pas si vous avez déjà joui debout mais c'est un exercice extraordinaire : J'ai sentie mes jambes se dérobées, mon corps se cambrer avant d'imploser, mon ventre trembler de l'intérieur. Avant, je croyais ne pas y parvenir, mais maintenant je sais que j'en suis capable et depuis cette fois-là c'est moi qui demande de recommencer.

            Une fois que Stéphane eut léché jusqu'à la dernières gouttes de mon miel ; plus rien ne se passa. C'était cruel car j'avais une envie folle que ça continue et qu'il m'empale avec son sexe sûrement dur comme un gourdin. Stéphane sait que j'adore quand il enchaîne le cuni avec la pénétration. Mais là, il m'a rappelée à mon sort de prisonnière. Il s'est éloigné de moi, j'ai entendu qu'il changeait la musique, il s'est servi à boire, il a pris quelques photos encore. Puis, plus rien, pendant de longues minutes....

            Il devait avoir envie de moi lui aussi mais il adore me faire jouir et me laisser ensuite mariner dans mon désir. C'est à la fois bien et à la fois un peu sadique de sa part.

            Soudain, j'ai senti sa main sur mes lèvres intimes. Je n'avais pas perçu qu'il avait bougé. Il me pris une lèvre entre ses doigts serrés, il tendit la peau en tirant dessus doucement, puis je ressentis un pincement en haut de ma lèvre gauche. Le pincement était fort sans être douloureux. Il me fit la même chose à l'autre lèvre. Mes lèvres rasées venaient de connaître quelque chose de nouveau. Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait...

            Il fit glisser ses doigts de dix centimètres vers mon nombril, me pinça de nouveau le bord du nombril et je ressentis un nouveau pincement. Une différence : j'ai perçu que j'avais quelque chose dans le nombril et j'ai commencé à imaginer qu'il m'avait clipser des bijoux à mes deux lèvres et au nombril. J'étais sûrement ornée....mais de quel ornement ?

            Une fois parée de mes nouveaux bijoux, Stéphane me détacha les mains d'au-dessus de la tête, me les glissa dans le dos tout en laissant liées ensemble et m'entraîna quelques pas plus loin. Je marchais doucement sur mes talons et sans y voir. Soudain, il me retint et je m'arrêtai immédiatement. Je sentis au niveau des agrafes de mon porte-jarretelles, les bords d'un objet touchant mes jambes.

            Stéphane me mit une main chaude sur le ventre et l'autre dans le dos et m'inclina vers l'avant. Au lieu de tomber, je sentis tout de suite que je m'allongeais sur une sorte de table.

            De derrière, Stéphane me fit écarter les jambes et je me retrouvais ainsi à demi-allongée, jambes entrouvertes.

 

 

 



           

 

 

 

A ma grande surprise, pour la première fois mon bandeau me fut enlevé des yeux. Après une privation aussi longue et mouvementée de la vue, il m’a fallu quelques instants pour retrouver la vision. Quand je vis de nouveau, j’aperçus l’installation qui avait dû servir à me suspendre : une cordelette était passée autour de la poutre des boiseries apparentes du plafond avec à son extrémité un mousqueton d’escalade (rq : notre couple pratique comme sport l’escalade sur parois naturelles et verticales…). La hauteur du mousqueton était méticuleusement réglée pour que je sois en tension. Je n’avais pas imaginé que le décor raffiné de notre chambre allait devenir l’outil de mes supplices…

Pendant que je découvrais tous ces détails, Stéphane, entièrement nu vint au niveau de mon visage. Mes yeux se trouvait en face de sa queue qui avait besoin d’être revigorée à mon goût. Sans que rien me soit demandé, je pris l’initiative de sucer ce gourdin encore trop mou pour moi. Malgré la position inconfortable ( il me fallait redresser la tête et mes mains restaient liées dans mon dos ), je le pompais par des aller-retour qui ne restaient pas sans effet : un raffermissement se produisit. J’aime quand je fais durcir son sexe dans ma bouche, je sens que lui donne du plaisir. C’est sûrement pour ces raisons que j’aime autant le sucer. Stéphane ne me laissa pas le loisir de l’asticoter longtemps. Il me retira sa trique de la bouche ; je râlais un peu pour la forme, mais je compris rapidement que le glas avait sonné. Son piston allait prendre une autre route.

Stéphane se plaça derrière moi et me prit entre ses mains au niveau des reins. Il me décolla légèrement le bassin de la table et se présenta à l’entrée de mon antre intime. Sans sommation, il s’enfonça sans ménagement. Qu’est-ce que ce fut bon pour moi…

Ce fut alors ma fête : son piston s’enfonçait, se retirait, se réenfonçait….Le tout de plus en plus profondément. Avant d’aller plus avant, une deuxième surprise arriva : Il me démousquetonna les poignets et je retrouvais ainsi l’usage de mes mains. Au lieu de restée allongée sur la table je me suis surélevée un peu sur mes avant-bras pour consommer pleinement la levrette. Stéphane a alors fait glisser ses mains sur mes seins  qu'il a caressés au point de les faire durcir. Avant l’explosion mutuelle, Stéphane avait donc choisi de me libérer. Quelle belle récompense !! N'est ce pas ?

Aucun de nous deux ne résista aux coups de boutoir. La décharge se produisit,  son intensité nous colla à la table tellement la jouissance nous vida de notre énergie.

Après l’avoir sucé intégralement; après que Stéphane m’ait butinée pour boire le miel de mon corps, la jouissance mutuelle du couple éclata dans une passion torride.

A demi-conscients, allongés sur la table, nous avons profité de ces instants magiques où le corps s'apaise après s'être enflammé. J'adore ces moments de câlins doux et paisibles. Le seul bémol fut la position : la levrette ne permet que le coït dure très longtemps, dès que la queue de Stéphane se ramollit elle se rétracte et se retire. Quelle frustration !!! J'aurais voulu le garder en moi toute la journée.

Stéphane me prit dans ses bras et me serra très fort. J'étais contente, rassurée et comblée. Je trouvais que les deux dernières heures avaient été magnifiques et je souhaite en revivre d'autres comme celles-ci. Dans cette relation nouvelle, je sentais que notre couple avait grandi et s'était enrichi. Finalement être prisonnière avait été une source de plaisir immense. J'étais fière de moi et du résultat que je n'imaginais pas aussi complet.

Mais rien n'était fini, ce n'était qu'un début. Nous n'étions que samedi 19 heure et mon engagement initial courrait jusqu'à dimanche soir. Désormais,  ce n'était pas pour me déplaire. Je confesse que j'y avais pris goût coquinement.

Stéphane se lava rapidement dans la salle de bain pendant que je somnolais sur le lit. Il s'habilla et me donna une demi-heure pour me préparer. Il m'attendait, en bas, en terrasse de la piscine.

Le moment de revêtir ma tenue de soirée surprise avait donc sonné.

Pour quelles nouvelles aventures nocturnes ?

 

 

 

 

 

 

Par antonia - Publié dans : antonia-histoires
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